Heureusement que Swardrill né à Irrintar fut grand et fort ! Cependant attiré par la gente féminine il n\'eut gère grand intérêt de participer a cette bataille..
Il s\'en est allé sur son cheval blanc, enlever des otages qu\'il trouvait à son gout et qui sait, peut être, profiter de leur corps. Une fois la bataille achevée, son ami Walfun lui apprit que ce sont en effet les princesses qu\'il a déshonorées, ainsi en échange de leur laisser la vie sauve, l\'ennemi se rendit, céda ces terres riches et ils s\'en alla en exile pour éviter leur déshonneur perpétuel.');">
Le vent souffla dans ses cheveux soyeux après moultes bière fort rafraichissante j'appercu au loin la grande armée déchainée de notre ennemi la tribut ces Grosac !
Heureusement que Swardrill né à Irrintar fut grand et fort ! Cependant attiré par la gente féminine il n'eut gère grand intérêt de participer a cette bataille..
Il s'en est allé sur son cheval blanc, enlever des otages qu'il trouvait à son gout et qui sait, peut être, profiter de leur corps. Une fois la bataille achevée, son ami Walfun lui apprit que ce sont en effet les princesses qu'il a déshonorées, ainsi en échange de leur laisser la vie sauve, l'ennemi se rendit, céda ces terres riches et ils s'en alla en exile pour éviter leur déshonneur perpétuel.
| le son du tocsin de snowgates et les chants guerriers des nordens s'élevait depuis le versant ouest. les guerriers du versant est atteignaient enfin les entrées des chevriers. pénétrant dans l'étroit réseaux de galeries. le petit groupe de combattant décida de se séparer afin d'atteindre au plus vite les zones d'importance capitale. Le seigneur Kerai s'occuperait d'ouvrir les portes de la ville, Galaeron quand a lui se chargerais des portes du ciel que les drakeirs utiliseront pour rentrer avec leurs wyvernes, dame Ilvanar pour finir irais se frayer un chemin jusqu'au temple de la lune pour s'assurer que se dernier ne soit pas profané par ces cultistes impies. Alors que Galaeron arrivait a proximité des escaliers principal il fit signe a ses troupes de ne pas faire de bruit. Un groupe de cultiste se tenait au pied des escaliers, se disputant un paquet d'étoffe en laine de Kyrst des neiges. Sans bruit, trois shritakers se mirent en place et bandèrent leurs arcs. mais avant qu'il n'eurent le temps de tirer, un des cultiste s'effondrait a terre, laissant place a Ashawaka dont la lame ensanglanté en disait long sur ce qui était arrivé a la sentinelle. avant qu'il n'ai eu le temps de dégainé , un deuxième cultiste fut terrassé par le sauvageon, le troisième fut criblé de flèche, une lui transperçant l'oeil alors qu'une autre se ficha dans sa gorge. Avançant a pas de loup et tirant profit du chaos crée par l'assaut des irserkers qui avançait sans craindre les flèches de l'ennemi, les groupes de nordens inflitrés arrivèrent à leur positions de combat. les troupes du clan kerai laissait derrière eux un chemin sanglant, Personne ne savait tuer mieux que les Kerai. Galaeron et ses troupes encerclèrent en silence le groupe de combattant qui gardait les enclos a wyvernes, puis comme une meute de loup se jette sur une proie, ils attaquèrent avec rapidité et précision. Une fois ces frappes réussit, les nordens prirent l'avantage, les lourdes portes de snowgates s'ouvrir,permettant aux irserkers de se déverser dans la ville . Le ciel s'assombrit lorsque les drakeirs et mené par 14 chevaliers dragons entrait depuis la porte du ciel que venait d'ouvrir les troupes de Galaeron. Une fois les drakeirs a l'intérieur, Galaeron et ses troupes, renforcé par l'arrivé de ses propres drakeirs, partirent en direction de la position de dame Ilvanar, qui risquait de se retrouver piégée entre d'éventuelles troupes à l'intérieur du temple, et les troupes enemis qui se repliait. |
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| Le souffle froid d'Irrintar fouettait le visage de Walfun, qui scrutait l'épais brouillard avec crainte. Au loin, les formes de la majestueuse cité des glaces surplombait les hommes de toute sa hauteur, tel Glindoron le Géant des Glaces, le légendaire gardien des montagnes du Nord. Cette pensée fit sourire Walfun: c'était aujourd'hui que le peuple des glaces aurait besoin de toute l'aide des créatures de légendes qui peuplent les chroniques Norden: Irintar, quand viendront ta meute de loups? Melodia, pourquoi ne stoppes tu pas le temps afin de nous accorder la victoire? Et Coia, déesse lune, accorde donc ta grâce à tes fils, qu'une vigueur nouvelle et implacable guide leurs bras armés! Les pensées du chevalier dragon furent interrompus par une clameur: un des Irserker pointa du doigt le brouillard devant eux. Au loin, d'inquiétantes silhouettes progressait vers eux, d'un pas lent et régulier, elles marchaient tels des somnambules dans l'épaisse couche de neige. Soudain, un claquement ce fit entendre et l'instant d'après, des flèches et divers autres projectiles fusèrent depuis les remparts de la ville. Par quel miracle les mystérieux ennemis arrivaient à viser malgré cette purée de poids? Mais cette attaque ne ralenti aucunement les valeureux norden: un des capitaine clama un seul ordre et immédiatement, tous les pavois se levèrent en même temps, formant une véritable couverture de bouclier, sous lequel progressait les Irserkers. Walfun, n'ayant pas un de ces lourds pavois, s'abritât près d'un jeune guerrier pour éviter de se faire transpercer. Il jeta un rapide coups d'œil derrière lui pour voire que les autres guerriers de sa tribus l'avaient bien vite imité: le clan des Brisemachoires, utilisait beaucoup plus d'armes lourdes que de pavois. Cependant, la présence des siens ne le rassura pas pour autant. Il repensa même à ce que son frère lui a dit hier. La veille, Walfun quittait le concile l'esprit en proie à de nombreux doutes. Cette bataille restera dans les anales de Snowgate. Nul fois avant ce jour, la Cité des Glaces ne fus prise par aucune armées: toutes les expéditions Symphoniennes furent repoussés, les hordes kurgs se sont brisés milles fois sur les remparts glacés et les tribus nordiques furent vaincu au pied de la cité. Mais en seulement quelques jours, une armées inconnus avait réussi à prendre d'assaut la capitale, à briser la grande porte et à ravager la cité, poussant ses défeseurs et ses habitants à une fuite désespéré. De ces guerriers, Walfun n'avait que le vague souvenir d'une marée infinie d'homme habillés de noir, portant de longues capes à capuche et un masque noir. Ces guerriers se battaient avec une vigueur presque surnaturelle, ne craignant ni la peur ni la mort et depuis, les différentes mission de reconnaissances avaient rapportés la même nouvelle: chaque jour, des groupes importants de nordiques et d'immondes kurgs entrèrent dans la cité, renforçant la garnison. La victoire semblait si difficile à atteindre... Walfun avait longtemps penser à tout cela et il ne voyait pas comment il pourrait renverser la situation alors que son père fut impuissant... Seul dans sa caverne, il fixa durant des heures les deux trésors familiaux. Exposés sur un rocher de la grotte, tel un piédestal, reposaient le Fendoir et le Brisemachoire. Le premier était la lame du chevalier dragon Brisemachoire, l'arme qui lui conférait son statut de prince chez les nordens, une des vingts lames forgé par Raisyskar, le dieu forgeron, qu'il confia aux hommes afin de protéger la reine des glaces. De toutes les Lames, Fendoir était la moins puissante: l'arme avait la taille d'une épée courte, mais sa lame était large et épaisse comme celle d'une hache, c'était une arme trop large, trop brute, trop grossière pour être considéré comme une épée. Finalement, ce n'était qu'un gros morceau d'acier. Néanmoins, son tranchant était incroyable et tranchait chairs et métaux avec la même facilité. Le Brisemachoire était quand à lui un héritage familiale, un bouclier millénaire, porté par le première ancêtre. C'était un bouclier de bois à l'air robuste, cerclé de fer, sont le bois fût peint en bleu, avec le symbole des Brisemachoires, une mâchoire fendu, sculpté en blanc en son centre. Mais la protection avait comme particularité, sa forme concave à l'une des extrémités, comme une gueule tranchante, plus utile dans la frappe que dans la parade. C'est sans doute par les nombreux coups portés à la tête de ses ennemies qu'est née le surnom de son ancêtre, qui devint plus tard, le sien. Alors qu'il contemplait ce bouclier, qui avait pour réputation d'être indestructible, se demandait si son invulnérabilité pourrait le sauver lui, Walfun reçu un coup violent dans le dos qui le tira de sa torpeur et le fît tomber droit vers le sol. Se retournant, les yeux chargés de haine, il se calma immédiatement lorsqu'il reconnu la silhouette de son jeune frère, Rallus. Le jeune norden à la longue chevelure blonde noué en tresses le dévisageait avec un petit sourire narquois, semblant fier de son coup de pied. Ses yeux noir tombèrent dans ceux de Walfun, où il lu l'excitation et l'énervement typique de sa famille. "Alors le faon, tu rêvasses? Tu ferai mieux de te dépêcher, les hommes attendent tes ordres" Walfun sourit lorsqu'il entendit son surnom: au sein de la famille, son grand oncle Fulgan l'avait désigné comme "un jeune faon au milieux d'une meute de worgs". A ce qu'il parait, il était de loin le plus calme et le plus timide des Brisemachoires: au lieu de massacrer à coup de chaise un ivrogne qui lui aurait renverser son hydromel, il se contente de lui assener un coup de poing avant de le piétiner... Là où ses prédécesseurs sautaient du haut des tours pour se jeter sur les assaillants, lui ne se jetait que depuis le rempart... Tegrol Brisemachoire avait rasé entièrement un camp kurg, lui aurait arrêté une fois tous les guerriers vaincu. Mais c'est surtout au point de vue de la diplomatie qu'il se différenciait des autres, jamais il n'osa manquer de respect à un inconnu et les siens furent très surpris de le voir un jour répondre à la révérence d'un envoyé symphonien, alors que d'autres se serai contenté de ricaner d'un air narquois... "Et toi mon frère, sera tu des nôtres pour la bataille?" Rallus bomba du torse et se frappa la poitrine, le sourire au lèvre. "Et comment frère! J'ai douze ans maintenant, j'ai l'âge de participer à ma première bataille!" "Comme j'aimerai avoir ton enthousiasme" soupira Walfun. "... Pardon?" "Je crains pour notre peuple et sa survie. Je crains que quelques chose de terrible se déroule et nous surpasse totalement. Je crains d'avoir la vie des membres de la famille entre mes mains" Un violent coups dans l'estomac lui fit stopper sa phrase. Il recula vivement pour eviter le deuxième crochet que lui envoya son frère, dont la colère se lisait sur son regard. "De quoi? Répètes! Face de lait! Marmot au foie blanc! Lépreu symphonien! Répètes! Depuis quand un chevalier dragon se morfond ainsi?! Honte à toi! Indigne de ton rang!" Rallus se jeta sur lui les bras en avant, les deux frères luttèrent alors, chacun assénant une pluie de coups à l'autre, sans essayer de se protéger. Mais le physique de Walfun prit le dessus et le chevalier dragon projeta Rallus contre une parois, se dernier se releva, le sang coulant de ses lèvres. "Oui, honte à toi Walfun! Tu détruit tous les espoirs que j'avais en toi! Tu entends! Tu as trahi ton propre frère!" Le calme revint subitement, comme une brise après une tempête, les deux adversaires se jaugeant en soufflant. "Des espoirs?" "Oui Walfun. Oui, j'ai confiance en toi, et les autres aussi." Walfun baissa les poings et fixa son frère de manière agar. "Tu n'es pas le personnage d'un drame" repris le jeune norden. "Tu crois que tu ne le mérite pas? Tu crois que ce titre te reviens simplement parce que tu es l'ainé? Écoutes bien, si cela avait été le cas, les anciens du clans auraient immédiatement fais en sorte que tu ne sois qu'une potiche de parade, assistant au concile mais laissant le combat au vrais guerriers! Mais ce n'est pas le cas. Tu es plus digne que moi de porter le titre. Rappelles toi: qui est capable de désarmé le vieux Furog à l'entrainement? Qui enchainait ennemies sur ennemies sur les champs de nos domaines? Qui me sauva un jour d'un worg, à main nue?" Walfun détourna le regard, honteux de s'être laisser aller au désespoir. C'était vrai, il n'avait pas à douter lui, un Brisemachoire. Il serra les poings n'osant pas regarder le cadet qui venait de lui faire la leçon à lui. "Que devrais-faire?" murmurra-t-il "Dans un premier temps tu ferai bien de parler aux nôtres. Ils t'attendent." Walfun releva la tête pour voir Rallus lui tendre sa cotte de maille en Stilir. Le chevalier Dragon attrapa la protection, résolu, comme remplie d'une vigueur nouvelle. Il enfila le gilet de maille en hâte et se contenta de boucler une lourde ceinture autour de sa taille. L'acier Norden émis sa douce chaleur caractéristique, si bien que le chevalier ne sentit pas le froid qui régnait dans le hall dédié au clan, là où attendait une trentaine de guerriers, boucliers, haches et épées en main, habillé des armures en fourrures bleus typiques des nordens, le symbole de la mâchoire peint en blanc sur le plastron. Les Brisemachoires restèrent stoïque lorsque leur chef arriva, attendant un signe de sa part. Pour Walfun, il n'y avait qu'une chose à dire. Le jeune norden prit une profonde aspiration et hurla à la mort, imitant le cris funeste du loups, tous en se martelant la poitrine avec son poing. Les guerriers reprirent en cœur le cris de guerre, tels une meute de loups affamés, près à partir en chasse. Dans le brouillard qui régnait sur le champs de bataille, Walfun entendit au loin un cris de loup: Rallus hurlait tout en se frappant le torse avec le pommeau de son épée, les membres de la famille reprenant le cris en cœur, suivit bien vite par tout le bataillon, par Evangeline Ragecroc et les siens, puis par tous les Irserkers. Walfun fixa les silhouettes devant lui, qui se faisaient plus nombreuse, sortit le Fendoir de son fourreau, pointa la lame vers ses ennemis et hurla "Namaro or heim!": Je protèges nos terres.
Edité le 05-12-2010 à 22:34:51 par Chonvar Versus Chonvy |
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